AGENDA
des différents enseignements proposés
Préparation au séminaire d’été
ÉTUDE DU SÉMINAIRE DE J. LACAN
L’Envers de la psychanalyse (1969 - 1970)
Le mercredi 17 avril 2024 à 20h30
Leçon XI du 15 avril 1970 Travail collectif
Responsable : Elisabeth La Selve 33 (0)4 9102 24 81 - 33(0)645 57 84 89
www.ali-aix-salon.com
Pour nous contacter
CARTEL
« Symptôme , Jouissance et Fantasme »
C’est bien souvent à partir du symptôme, que l’enfant est amené en consultation.
Il s’agira au travers de lectures, mais aussi de situations cliniques, de situer et de questionner la jouissance, dont le symptôme se nourrit.
S’agit-il de la jouissance de l’enfant, de celle des parents, où d’une jouissance partagée ?
Le travail devra donc questionner les parents et la place de l’enfant.
C’est dans cet entre-deux, entre-deux du symptôme, entre-deux du fantasme, que
nous aurons à travailler et à penser la psychanalyse pour les enfants.
Dates :
2023 : 19.10. /09.11. /30.11. /21.12.
2024 : 11.01/01.02. /22.02. /14.03. /04.04. /25.04. /16.05. /06.06. /27.06.
Les rencontres ont lieu par Skype à 19h30
Responsable : Marina Mangatia- 33(0)6.22.61.71.23
À NOTER
Les séminaire ont lieu à 20h30 et, désotmais, par skype.
Au-delà de l’éducation et la tradition de Lacan, le séminaire est une pépinière, une référence à la semence… à la petite graine. Cela veut dire que nous ne sommes pas seulement « entre nous » et que cet exercice vise aussi la transmission des outils légués par nos aînés.
Omar Guerrero. Billet d’actualité du 20 juillet 2023 ‘’Lu et approuvé ou bien lu et à prouver ?’'
Ouvertures cliniques et théoriques
A partir de travaux de cartels, d’apports de lectures ou de points d’actualités, une question à mettre collectivement au travail nous est proposée.
Le mercredi 03 avril à 20h30 par skype
Florence Durand-Tornare nous invite à réfléchir sur :
Les cellules buissonnières.
L'enfant dont la mère n'était pas née et autres folles histoires du
Microchimérisme.
de Lise Barnéoud
(Ed.Premier Parallèle)
Extrait de la quatrième de couverture :
« Nous réalisons aujourd’hui que même nos cellules humaines ne partagent pas toutes le même ADN. Nous avons tous, en effet, à une échelle plus ou moins importante, des cellules d’autrui en nous. Dans certains cas, ces cellules « étrangères » peuvent constituer tout ou partie de nos organes, dont elles participent pleinement au fonctionnement. Pour le meilleur ou pour le pire. »
En conclusion, l’auteure questionne cette nouvelle « connaissance » de l’identité biologique : « Il n’y aurait pas d’individu biologique mais « un collectif en co-construction permanente dont l’équilibre dépend des interactions entre ses constituants ».
L’auteure provoque la sensibilité populaire et son attrait pour l’étrangeté par ces questions : que devient l’individu (non divisible) ? quelles limites du soi et du non soi ? quel passage du passé au futur quand dans notre corps des cellules des grands-mères et mères décédées, et des cellules d’embryons ( nés et non nés) ?
Florence Durand-Tornave nous invite alors à réfléchir sur la question de savoir
si nous pouvons ou non, interroger la psychanalyse sur cette version biologique
de la rencontre avec l’Autre ?
Tout en notant, d’une part, que : " la pulsion est l’écho d’une parole dans un corps", Lacan démontre par là que le bagage inné de l’être humain, le langage, se modifie en fonction de ce qui lui vient de l’extérieur.
Et, d’autre part, que Gérard Pommier, osait, il y a 20 ans , défendre la place de la psychanalyse à l’université, en affirmant, dans son ouvrage éponyme, que les neurosciences démontrent la psychanalyse.
Ajoutant enfin une interrogation contemporaine : « Comment le microchimérisme biologique démontre-t-il la psychanalyse ? ".
Responsable : Marina Mangatia- 33(0)6.22.61.71.23